Afin de préserver le monde de la dévastation. Afin de rallier tous les peuples à ma nation ! Afin d'écraser l'amour et la vérité ! Afin d'étendre mon pouvoir jusqu'à la Voie Lactée !!!
Saitoo, moi et encore moi ! La Team Saitoo plus rapide que la lumière, rendez-vous tous ou ce sera la guerre, guerre, GUERREUHHH !!!!
Hum...pardonnez-moi, il se fait tard et j'ai tendance à disjoncté.
Bref, bah comme vous avez plus ou moins aimé ma fiction "Mon secret, c'est...", je me suis dit que ce serait sympa de ma part de vous faire partager l'une des mes fanfictions...A vrai dire j'en ai écrit que deux dans ma vie...deux complète.
Ah oui, je tiens à préciser une chose ( CEUX QUI N'ONT JAMAIS LU OU N'ONT PAS FINI DE LIRE FRUITS BASKET INTERDICTION DE DÉPLOYER LE SPOILER !)
Dans une petite maison traditionnelle japonaise, au coeur d'une forêt, un homme semble méditer.
- Monsieur Sôma, le manuscrit s'il vous plait, demande une voix féminine.
L'homme ne fait pas vraiment attention à cette voix. Cet homme se nomme Shigure, il est le chef des lieux. Malgré son air sérieux, il est loin de l'être. En effet, dès qu'il s'agit de faire des farces ou des âneries, il est le premier à se porter volontaire. Il appartient à la famille Sôma. Oui « Sôma » comme la famille maudite. Cette famille frappée par cette fameuse malédiction jusqu'à leurs entrailles. Certains membres de cette famille, dit les « douze maudits » ont une particularité unique au monde. A vrai dire, ce sont les seuls membres de la famille Sôma à être les victimes directe de cette malédiction. Si les « douze maudits » enlacent une personne du sexe opposé, ils se transforment temporairement en un des animaux du zodiaque chinois. Cette transformation peut également être provoquée par le froid, la chaleur ou encore par un choc violent voire par une maladie. Cette malédiction influe également sur le caractère de ses « douze maudits » ainsi que sur leur physique, leur talent ou leur intelligence. Shigure lui-même fait partie de ses « douze maudits ». Sa particularité ? Il se transforme en chien.
Le nouvel an approche à grands pas. Shigure est soucieux à ce sujet. Lui et deux de ces protégés, Kyo et Yuki, vont devoir se rendre à la résidence familiale. Malheureusement sa petite « futur femme » Tohru - comme il aime l'appeler - devra rester seule dans la petite maison. Durant leur absence, la pauvre petite passera sans doute sont temps à penser à sa mère défunte. Quant à ses deux autres protégés, Kyo - née sous le signe du chat - et Yuki - née sous le signe de la souris -, ils sont eux aussi atteint de la malédiction. Bien qu'officiellement Kyo ne fait pas partie des « douze », son cas est assez particulier. D'après la légende, le chat fut piégé par le rat afin qu'il ne se rende pas à la fête organisée par Dieu. De ce fait, le chat ne fait donc pas partie des douze animaux du zodiaque chinois. Cependant, certain le considère comme le "treizième" des douze non officiel. Même aux seins de la famille Sôma, il reste en quelque sorte rejeté. De ce fait pour Kyo, mais aussi pour Yuki pour d'autres raisons, aller à ce genre de réunion familiale reste une lourde tâche à accomplir. Ce nouvel an ne s'annonce pas si réjouissants que ça. Shigure doit faire quelque chose pour ses trois protégés.
- S'il vous plaît Monsieur Sôma, supplie la femme, qui n'est d'autre que l'éditrice de Shigure. Le manuscrit !- Oui, oui ! Le voilà, dit-il en lui tendant une large enveloppe.- Monsieur Sôma ! Merci infiniment !!!
Shigure éclate de rire lorsque celle-ci quitte les lieux en chantonnant toute heureuse et souriante. Il aurait bien voulu voir son visage lorsqu'elle découvrira que l'enveloppe rempli de feuille vide. Épuisé par ses rires, l'homme s'allonge à terre même et ferme les yeux, réfléchissant à sa stratégie pour arranger le nouvel an de Tohru, Kyo et Yuki.
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Le jour que Shigure redoute le plus est enfin arrivé. Il a fait en sorte de ronger Yuki et Kyo par la culpabilité et cela semble avoir été une réussite. En effet, sur le chemin vers la demeure des Sômas, les deux jeunes hommes sont repartit en courant vers la petite maison dans la forêt, afin de retourner auprès de leur petite Tohru. À présent, Shigure se demander ce qu'il va bien pouvoir raconter à Akito en ce qui concerne l'absence des deux jeunes gens... Akito a tendance à s'énerver violemment lorsque ces deux-là rate l'une des réunions de la famille Sôma. Dans ses crises violentes de colère, il en devient presque incontrôlable. Shigure appréhende ce moment. Cependant, il comprend tout à fait Akito.
Akito est « Le chef du clan Sôma », mais aussi ceux des maudits. En effet malgré son jeune âge - environ vingt ans- il est destiné à mourir tôt. C'est ainsi que la malédiction des Sôma s'est abattu sur lui. De ce fait, tous les Sômas le respectent plus ou moins. Il est très attaché à sa famille et pense que les douze resteront à tout jamais près de lui. La personne qu'Akito aime par-dessus tout est Shigure. Cependant, Akito n'apprécie guère Tohru. S'il apprend que Shigure a tout fait pour que Kyo et Yuki restent auprès de Tohru, il risque de se mettre dans une grande rage envers la jeune adolescente.
Shigure enfin arrivé au manoir des Sôma, salue comme il se doit quelques domestiques, soit toujours avec sa bonne humeur débordante. Une fois devant les appartements d'Akito, les traits de son visage deviennent plus sérieux. Chose rare pour lui. Il ouvre la porte coulissante et voit Akito posé contre la porte menant au jardin, vêtu d'un simple kimono léger.
- Tu es en retard...- Excuse-moi Akito. Tu risques d'attraper froid ainsi.- J'ai froid...
Shigure avance vers la table base et prend le haori- une veste chaude qui tombe jusqu'aux genoux- qui s'y trouve. Il s'avance ensuite vers Akito et le lui fait enfiler.
- Sont-ils venus ? demande Akito
- Ils ne sont pas là.
- Pourquoi ce bâtard et Yuki ne sont pas là ?! Ils ont pour obligation de venir ! Pourquoi ils ne sont pas venus ?!
- Akito, calme-toi, dit Shigure en caressant les cheveux d'Akito pour le calmer. Je te promets que la prochaine fois ils seront là.
- "La prochaine fois"... Je suis épuisé.
Shigure prend Akito dans ses bras et le porte jusqu'au futon déjà déroulé sur les tatamis.
- Repose-toi Akito.
Après avoir déposé Akito dans le futon, il ferme la porte menant au jardin avant de rejoindre le reste de la famille dans la salle de fête.
Mis à part Yuki et Kyo, personne d'autre ne manquer à l'appelle. La soirée s'est plutôt bien déroulée. Akito n'a pas pointé le bout de son nez et tout le monde semble ravis de ne pas avoir à fêter le nouvel an en sa compagnie. Shigure est tout de même un peu inquiet.
- Hatori, peux-tu aller voir Akito s'il te plait ? demande Shigure. Tout à l'heure il semblait très épuisé.
- Très bien.
Hatori est le médecin des Sôma. Il habite le manoir familial et est chargé de s'occuper spécialement d'Akito. Lui, Shigure et Ayame font un trio inséparable depuis leur tendre enfance. Hatori est sans doute le plus calme et le plus sérieux des trois. D'ailleurs Shigure n'a pas encore vue Ayame, bien qu'il soit arrivé depuis la veille. Ces derniers temps Ayame semble distant envers Shigure...
Cette nuit Shigure avait prévu de le passer au manoir. Il n'est pas obligé, mais il souhaite rester encore un peu. Surtout que son inquiétude au sujet d'Akito ne fait que s'amplifier. Il finit par se lever et se diriger vers la chambre qu'on lui a donnée. En chemin, en passant devant l'un des nombreux shōji - cloisons coulissantes - de la demeure, Shigure s'arrête en entendant la voix d'Ayame. C'est sans doute la chambre d'attribution de celui-ci.
- Fraise... Je veux des fraises, dit doucement Ayame.
Shigure entre dans la pièce puis Ayame se tourne pour lui faire face.
- Des fraises en cette saison. Je te souhaite bien du courage pour en trouver, dit Shigure d'un ton moqueur.
Shigure semble voir durant un court instant de la tristesse dans les yeux d'Ayame, mais il n'a pas le temps de l'observer davantage que son lui saute au cou.
- Shigure ! Je veux des fraises !
- Ayame chérie, je viens de dire que c'est impossible d'en trouver en cette saison.
- Mais euh ! C'est bon les fraises !! Ah pendant que j'y pense, faudrait que je te montre l'échantillon d'un de mes nouveaux vêtements cosplay spéciale Fraise et Eté dont je t'ai parlé !
Ayame est le frère ainé de Yuki. Ils se ressemblent beaucoup. Du moins physiquement, bien qu'Ayame ait les cheveux long, beaucoup plus long, que ceux de son frère et une couleur des yeux différents. Le jeune homme est styliste. Il tient une boutique spécialisée dans la confection des vêtements quelque peu particuliers destinés à servir les fantasmes masculins. Ayame est quelqu'un d'extrêmement flamboyante, extravertie et exubérante, soit assez excentrique. Il dégage une grande personnalité et une grande assurance. A un tel point qu'il se prend pour un roi, mais il n'en reste pas moins fragile. Enfants ses parents le maltraité et lorsque sa mère a « vendu » Yuki à Akito, il a refusé d'aporter son aide à son jeune frère. Il regrette à présent ce choix et tente bien que mal de se faire pardonner auprès de Yuki.
- Oh, alors tu l'as finalement fini. Je l'imagine déjà sur ma petite femme.- Ah non ! Shigure est à Ayame !
Ayame serre ses bras un peu plus autour du cou de Shigure et dépose sa tête au creux de son cou. Shigure sent une goutte humide coulée le long de sa peau nue. Une goutte de larme ?
- Shigure... Tu es à moi n'est-ce pas ?
Shigure ne réponds pas à sa question. Cela fessait longtemps qu'il n'avait pas vue Ayame si déprimé. Il le prend entre ses mains et le serre fortement.
- Qu'est-ce qui t'arrive Ayame ?
- Hatori aime toujours cette Kana et Yuki ne veut toujours pas me pardonner. Au fond il me reste plus que toi...Ne me laisse pas Shigure.
- Pourquoi voudrais-tu que je te laisse ?
- Alors, aimez-moi !
- Mais je t'ai...
- Pas cette façon d'aimer ! coupe Ayame en se détachant de Shigure.
Ayame se dirige ensuite vers la porte qui mène au jardin et l'ouvrit. Shigure ne comprend pas son ami. Pourquoi est-il si triste et en colère. Il n'a jamais eu l'intention de l'abandonner.
- Ayame...
- Shigure tu aimes les lycéennes n'est-ce pas ? demande Ayame dont le visage, quelques secondes auparavant était si attristée, semble avoir retrouvé son éclat.
- Oui, tu le sais.
- Et les femmes mûres ?
- J'aime les femmes en général. Tu sais que tu changes souvent de sujet de conversation ?
Ayame rit légèrement en se levant pour s'asseoir sur le bord de la porte qui mène au jardin.
- Il fait froid.
- Tu changes encore de sujet, dit Shigure en le rejoignant.
- Désolé. Dis Shigure, comment va Yuki ?
- Loin d'ici, il va bien.
- Oui... Et Tohru ? Et Kyo ?
- Ils vont bien eux aussi.
- Tant mieux. Et toi Shigure ?
- J'ai l'air d'aller mal ? demande-t-il d'un ton mi- moqueur.
- Non, répond Ayame en riant. C'est parce que tu m'as manqué que je demande de tes nouvelles.
- On s'est vu le mois dernier.
- Un mois c'est long.
- Oui, c'est vrai.
Ayame pose légèrement sa tête sur l'épaule de Shigure. C'est rare les moments où Ayame montre autant d'affection à Shigure, sans se moquer des passants aux alentour.
- Tu penses que Yuki me pardonnera un jour ?
- Qui sait. S'il y a Tohru sans doute qu'elle réussira à le convaincre.
- Elle est mignonne la petite Tohru.
- Elle n'est pas ma femme pour rien.
- Pourquoi veux-tu qu'elle soit ta femme ? Je peux aussi être le tien !
- Jusqu'à dernière nouvelle, un homme ne peut pas devenir la femme d'un autre homme, réponds Shigure en riant.
- Tu ne comprends vraiment rien ! s'exclama Ayame énervé.
- Et si tu m'expliques un peu ce que je dois comprendre ?
- Je t'aime, mais...
- pas comme je le pense ? coupe Shigure.
Ayame abaisse sa tête. Shigure sourit et lui caresse les cheveux. Ayame a toujours eu les cheveux doux et soigneux.
- Alors, comment m'aimes-tu ? demande Shigure.
- Je t'aime comme on aime son amant, répond Ayame en approcha son vissage près de celui de Shigure qui recule instinctivement. Pourquoi est-ce que tu recules ? Tu as peur de la malédiction des douze? Tu ne te transformeras pas si une personne du même sexe que toi te touche ou ...t'embrasse.
Shigure, en dehors de leur délires, n'a jamais été affronté à ça. Il ne sait pas vraiment comment réagir. Est-ce que Ayame est vraiment sérieux quand il dit l'aimer de cette façon ? Si Akito l'apprend, il va s'en prendre à Ayame, comme il s'en est prit à Hatori. Il ne veut pas que cela arrive à nouveau.
- Ayame, Akito il...
- Ne me parle pas de lui ! Tu n'es pas son jouet !
- Pourtant, on l'est tous... ses jouets.
- Pas toi ! Tu es libre toi ...
- S'il l'apprend tu sais comment il réagira.
- Peu m'importe. Je t'aime et je n'y peux rien. S'il te plait, laisse-moi au moins gouter à tes lèvres. Juste une fois sans délirer comme on le fessait au lycée. Je veux que tu m'offres un vrai baiser Shigure.
Ayame s'approche de plus en plus de Shigure. Il finit par effleurer les lèvres sur l'élue de son coeur. Shigure ne résiste pas. Ayame pose enfin ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser. Leur baiser est tendre et rempli de sentiments réel, pure. Soudain Shigure sent la langue d'Ayame franchir la barrière de ses lèvres puis de ses dents et s'engouffrer dans sa bouche cherchant à jouer avec sa langue. Tout d'abord, Shigure panique et essaye de se débattre, mais il est très vite entrainé par la chaleur langue d'Ayame et l'excitation qui monte en lui. Bien que Shigure soit attiré par les femmes, ce contact avec Ayame ne le déplait pas tant que ça. Il se sent lentement pousser par Ayame qui fait en sorte de l'allonger sur les tatamis. Tandis que Ayame l'embrasser, il sent une goutte d'eau glacer entouré de fine couche blanche tombait sur son bras. Puis une deuxième, une troisième. Il commence à neigé. Malgré le froid et la porte ouverte, son corps est chaud. Cependant, il sent les lèvres d'Ayame se détacher des siennes. Le froid ... Ayame ne supporte pas le froid !
Ayame fait lui aussi partie des douze. Né sous le signe du serpent, il est donc très sensible à la chaleur et au froid. Peut-être que cela est dû à son comportement étrange. Ayame tremblote et se détache de Shigure.
- Laisse-moi prendre un peu de ta chaleur, Shigure.
- Ayame...
Shigure, sans savoir pourquoi, il prend Ayame par la nuque et dépose ses lèvres sur les siens.
- Je vais te réchauffer.
Shigure se lève puis se dirige vers le oshiire - le placards à porte coulissante où l'on range le futon - et y sors une couverture. Il enlève son haori puis ouvre son kimono. Il attire Ayame vers lui et fait de même. Il serre ensuite Ayame contre son torse. Shigure le sent frémir au contacte de leur torse nu. Il prend la couverture et recouvre son corps et celle d'Ayame.
- Shigure, je...
- Chut, laisse-moi faire.
Shigure, tout en serrant fermement Ayame contre lui, de sa main droite il caresse le dos d'Ayame. Celui-ci frissonne à nouveau. Shigure met sa main gauche sur le torse du jeune Ayame. Il se met ensuite à lui caresser tendrement son torse, puis approche ses lèvres près de celui d'Ayame pour lui faire sentir son souffle chaud. Sa main comme à s'amuser avec les petits tétons du serpant presque rosit par l'excitation. Ayame gémit un peu lorsqu'il sent les doigts de Shigure lui pincer les tétons.
Shigure souris en voyant Ayame se pincer les lèvres puis les lui lèche. Il fait ensuite monter sa langue vers le lobe de l'oreille droite d'Ayame avant de le vers descendre vers son cou et sa nuque. Ayame semble très sensible car ses gémissements commencent à se faire de plus en plus intenses à chaque léchage. La main gauche de Shigure arrête les caresses sur le torse d'Ayame pour descendre un peu plus bas vers son bassin. Il introduit sa main vers l'entre-jambe de son ami qu'il frôle puis lui caresse les cuisse. Il remonte ensuite vers son entre-jambe puis caresse sans gêne son ami sans pour autant pénétrer dans son sous-vêtement. Il commence à lui caresser d'abord très lentement, puis de plus en plus intensément, sa verge à travers le tissu, qui ne fait que gonfler à chaque caresse.
- Ah ! Shigur... ! Je t'en pris, libère...moi !
En effet le sexe d'Ayame ne supporte plus cet espace étroit qui était son sous-vêtement. Shigure sent très bien que son ami en veut plus. Il sourit à Ayame et l'embrasse langoureusement.
- Attend encore mon coeur.
Il fait descendre sa main droite qui se trouve sur le dos d'Ayame, plus bas vers la raie de ses fesses. Il caresse l'extrémité de l'intimité d'Ayame, sans pour le pénétrer.
- Je t'en pris...Prend moi.
Cependant, Shigure veut le faire attendre encore un peu. En fait, il ne souhaite pas le prendre. Il veut juste le rendre chaud. Shigure n'est pas et n'a jamais été gay. Il veut juste faire plaisir à son ami et tout faisant en sorte qu'il ne tombe pas malade. Ayame le sait, mais ne dit rien...
Shigure reprend ses caresses sur le sexe d'Ayame. Il sent le sexe d'Ayame devenir humide. Il risque de craquer s'il ne le délivre pas. Alors, Shigure soulève légèrement Ayame puis lui retire son sous-vêtement. Shigure retire légèrement la couverture, afin d'apercevoir le sexe d'Ayame. Il est si dur et raide. « Il ne tiendra pas très longtemps », pense Shigure. Il met sa main sur cette magnifique verge et se met à faire des vas et viens tout d'abord doux puis frénétique. Il n'en oublie pas de caresser de temps à autre le gland à l'extrémité de la verge de son ami. Ayame en perd sa voix à chaque mouvement de plus en plus rapide et intense de Shigure. L'extase, Ayame veut sentir cette extase. La verge d'Ayame ne tiens pas très longtemps. Ayame se déverse dans la main de Shigure avant de s'effondrer totalement sur le corps de Shigure essoufflé.
- Ayame, Ayame?! se met paniquer Shigure
- Shigure... j'ai si ...chaud...
- Je n'aurai pas dû en faire autant, je suis désolé.
- Non, j'ai adoré... J'en veux encore...Encore un peu Shigure...Shug...
Ayame perd peu à peu connaissance entre les bras de Shigure. L'a-t-il donné trop de chaleur ? Ou est-ce la fatigue ? Il remet correctement la couverture sur eux et regarde le jardin à présent couvert de neige. Que se passera-t-il si Akito apprenait ce qu'il avait fait en cette soirée ? Que va-t-il faire à Ayame ? Shigure caresser tendrement la longue chevelure d'Ayame et soupire. Soudainement son téléphone portable se met à vibrer au rythme de la sonnerie.
- Ayame Sôma.
- Monsieur Sôma..., chuchote une voix inquiétante. Le manuscrit...
- Oh c'est vous ! Euh...Je dois y aller !
- Monsieur Sôma !!! hurle la pauvre éditrice totalement exaspéré et désespéré par le comportement de l'écrivain.