[illu] Gallerie Aube.

Et "l'amour de ma vie" (ou en tout cas, le mec qui a les yeux les plus dilatants de la Terre ^^) :


Le dessin en entier représente un fan art du Prince dans FF versus 13.


Et pour finir un tit plaisir XD

Ishtireg remarqua ses yeux jaunes comme ceux d’un serpent et, alors, il comprit.
« Virgile ? C’est toi, n’est ce pas ? s’assura-t-il dans un cri plaintif. Tu ne m’as pas abandonné ? »
Son apparence était différente. Il avait la taille d’un adulte, des ailes démesurées de cuir noir, des griffes recourbées et des crocs acérés, la peau couverte de marques noires comme des tatouages, mais c’était lui. Sous le sang, l’éclat de ses cheveux d’argent et d’ébène brillait encore.

Ishtireg se tourna enfin pour l’examiner. Le démon avait conservé l’apparence dans laquelle il l’avait vu pour la dernière fois. Un tatouage noir descendait en entrelacs de son arcade sourcilière gauche à sa mâchoire. Il portait l’une de ces longues tuniques descendant jusqu’à mi-cuisse qu’affectionnaient les nobles de la cour et un pantalon en cuir qui le distinguait pourtant du raffinement de ces derniers. Ses manches s’arrêtant un peu au dessus de ses poignets, les autres symboles cabalistiques qu’il arborait aux bras étaient en partis visibles. Ses cheveux argentés et noirs étaient attachés par une simple corde rouge et ses yeux dorés brillaient d’amusement.

Il glissa l’arme dans son fourreau et l’attacha à sa ceinture, puis releva les yeux sur Virgile. Le diable le fixait de ses yeux de loup, jaunes comme les étoiles. Les tatouages qui ornaient sa peau lui donnait une allure à la fois effrayante et mystérieuse. Quant à ses cheveux d’argent mêlé de noir, à moins que cela ne fut de noir mêlé d’argent, ils suscitaient d’autant plus la curiosité de par leur teinte atypique. En dépit des inquiétants symboles cabalistiques, on se surprenait à éprouver de l’attirance pour lui.
Peut-être était-ce pour cela que certaines femmes tournaient autour de lui, malgré sa nature démoniaque.

Les glyphes ésotériques couvraient entièrement son torse et ses bras en des entrelacements complexes. Les tatouages se mouvaient, comme dotés de vie, à chaque impulsion de ses muscles d’acier. Ils étaient comme les rayures sur le pelage d’un félin.