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| [JEU] L'histoire sans fin | |
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+16k-chan cheliaz maril bdcecile68 Tema Asama-Botan le-chat-ruka Kath-chan Tatsu fana Martha Yuka-chan NobutaChan Mira mizuki Max 20 participants | |
Auteur | Message |
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junjou Fraise Éternelle
Nombre de messages : 11907 Date d'inscription : 25/01/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Lun 30 Juil 2012, 18:47 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit... | |
| | | Kuroedesu Fraise Convoitée
Nombre de messages : 1216 Age : 30 Localisation : Quelque part perdu dans ma panoplie de livre. Date d'inscription : 28/10/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Sam 04 Aoû 2012, 14:21 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tout ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mit et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait les lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains... | |
| | | junjou Fraise Éternelle
Nombre de messages : 11907 Age : 53 Localisation : Le Bordeline est mon quotidien Date d'inscription : 25/01/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Sam 04 Aoû 2012, 15:53 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le marjorme fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit... | |
| | | Kuroedesu Fraise Convoitée
Nombre de messages : 1216 Age : 30 Localisation : Quelque part perdu dans ma panoplie de livre. Date d'inscription : 28/10/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Mar 07 Aoû 2012, 00:25 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le marjorme fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autre.
-Si tu restait calme à la place de t'énerver, tu aurai la vie plus facile, commenta Arnold. -Le maître prendrai plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je le sais bien que peut importe se que je fais je vais mourir, répondit Carry en commençant à pleurer. -Figures-toi que c'est un honneur de mourir de les mains du maître... | |
| | | junjou Fraise Éternelle
Nombre de messages : 11907 Age : 53 Localisation : Le Bordeline est mon quotidien Date d'inscription : 25/01/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Ven 17 Aoû 2012, 22:37 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? | |
| | | Kuroedesu Fraise Convoitée
Nombre de messages : 1216 Age : 30 Localisation : Quelque part perdu dans ma panoplie de livre. Date d'inscription : 28/10/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Dim 19 Aoû 2012, 03:16 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? - Oui! -Bien, je vois que je n'ai pas le choix, se dit Arnold à haute voix, vois-tu petite insolente, le harem du maître s'y ai installé. -Le...le harem? -Oui, dit-il d'un sourire sadique, et elles sont bien plus affamée que lui. En moins de deux, tu n'existerais plus. -V-Vous me faites peur en parlant ainsi, se plaignit Carry. -Tu serais folle si tu ne le serai pas, commenta Arnold.
Le soir venu, le maître se réveilla avec des picotements dans les dents. Il avait faim. Il sonna la cloche pour qu'Arnold lui emmène son repas, il avait envie d'une vierge ce soir. Contre toute attente, il vit Carry apparaître au pas de la porte de sa chambre.
-Oui, maître? -Où est Arnold. -Il dort, se fut un énorme effort pour lui d'être éveillé en pleine journée... -Pourquoi diable était-t-il debout à cette heure là? -Il... s'occupait de moi.
Carry baissa n'osant pas lui avouer qu'elle avait au préalable tenté de s'enfuir.
-Pourquoi cela, demanda le vampire encore affamé. -Parce que ma blessure s'était réouverte... -Blessure? Quelle blessure? Et pourquoi tu es celle qui vient s'occuper de moi, j'ai plus qu'un serviteur... | |
| | | junjou Fraise Éternelle
Nombre de messages : 11907 Age : 53 Localisation : Le Bordeline est mon quotidien Date d'inscription : 25/01/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Dim 23 Sep 2012, 08:04 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? - Oui! - Bien, je vois que je n'ai pas le choix, se dit Arnold à haute voix. Vois-tu petite insolente, le harem du maître s'y est installé. - Le...le harem? - Oui, dit-il d'un sourire sadique, et elles sont bien plus affamées que lui. En moins de deux, tu n'existerais plus. - V-Vous me faites peur en parlant ainsi, se plaignit Carry. - Tu serais folle si tu ne le serais pas, commenta Arnold.
Le soir venu, le maître se réveilla avec des picotements dans les dents. Il avait faim. Il sonna la cloche pour qu'Arnold lui emmène son repas, il avait envie d'une vierge ce soir. Contre toute attente, il vit Carry apparaître au pas de la porte de sa chambre.
- Oui, maître ? - Où est Arnold ? - Il dort, se fut un énorme effort pour lui d'être éveillé en pleine journée... - Pourquoi diable était-il debout à cette heure-là ? - Il...s'occupait de moi.
Carry baissa n'osant pas lui avouer qu'elle avait au préalable tenté de s'enfuir.
- Pourquoi cela, demanda le vampire encore affamé. - Parce que ma blessure s'était réouverte... - Blessure ? Quelle blessure? Et pourquoi tu es celle qui vient s'occuper de moi ? J'ai plus qu'un serviteur... - Ma personne ne vous conviendrait-elle pas ? Demanda Carry, dont sa voix tremblait faiblement. - Te voilà bien docile d'un coup. Cacherais-tu encore quelque chose ? Se fit sceptique le maître. - N...non...je vous assure que je ne veux que vous servir.
La dévisageant de bas en haut dans cette sa chemise de nuit à moitié transparente qui laissait entrevoir sa délicieuse poitrine, il se passa la langue sur ses lèvres.
- Soit ! Approche donc. Dit-il en tapotant sa main sur le lit, lui faisant comprendre qu'il la voulait près de lui. | |
| | | Kuroedesu Fraise Convoitée
Nombre de messages : 1216 Age : 30 Localisation : Quelque part perdu dans ma panoplie de livre. Date d'inscription : 28/10/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Lun 24 Sep 2012, 01:14 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? - Oui! - Bien, je vois que je n'ai pas le choix, se dit Arnold à haute voix. Vois-tu petite insolente, le harem du maître s'y est installé. - Le...le harem? - Oui, dit-il d'un sourire sadique, et elles sont bien plus affamées que lui. En moins de deux, tu n'existerais plus. - V-Vous me faites peur en parlant ainsi, se plaignit Carry. - Tu serais folle si tu ne le serais pas, commenta Arnold.
Le soir venu, le maître se réveilla avec des picotements dans les dents. Il avait faim. Il sonna la cloche pour qu'Arnold lui emmène son repas, il avait envie d'une vierge ce soir. Contre toute attente, il vit Carry apparaître au pas de la porte de sa chambre.
- Oui, maître ? - Où est Arnold ? - Il dort, se fut un énorme effort pour lui d'être éveillé en pleine journée... - Pourquoi diable était-il debout à cette heure-là ? - Il...s'occupait de moi.
Carry baissa les yeux n'osant pas lui avouer qu'elle avait au préalable tenté de s'enfuir.
- Pourquoi cela, demanda le vampire encore affamé. - Parce que ma blessure s'était réouverte... - Blessure ? Quelle blessure? Et pourquoi tu es celle qui vient s'occuper de moi ? J'ai plus qu'un serviteur... - Ma personne ne vous conviendrait-elle pas ? Demanda Carry, dont sa voix tremblait faiblement. - Te voilà bien docile d'un coup. Cacherais-tu encore quelque chose ? Se fit sceptique le maître. - N...non...je vous assure que je ne veux que vous servir.
La dévisageant de bas en haut dans cette sa chemise de nuit à moitié transparente qui laissait entrevoir sa délicieuse poitrine, il se passa la langue sur ses lèvres.
- Soit ! Approche donc. Dit-il en tapotant sa main sur le lit, lui faisant comprendre qu'il la voulait près de lui.
La petite Carry s'approcha lentement, toujours en guerre entre fuir ou servir. Ce fut son second choix qui emporta cette bataille. Ayant peur d'être sévèrement blessée si elle n'exécutait pas cette ordre, elle avança vers ce vampire et s'installa là où il souhaitait qu'elle soit. Le maître la dévisagea de toute les parcelles de son corps et paraissait délicieuse. Il huma l'odeur de son coup et monta jusqu'à son oreille. Carry frissonna à ce geste, mais ce n'étais pas de peur, elle était déconcertée de voir que c'était de plaisir. Ce fut ensuite le moment fatidique où il enfonça ses crocs dans sa chair. Le succulent nectar au fond des entrailles su maître, lui faisant reprendre des forces. Il entoura la taille de la petite de ses bras, il la voulait sienne. Elle était tellement bonne qu'il ne souhaitait pas s'arrêter. Il ne contrôlait plus son propre corps, seul son esprit lui criai de la prendre à lui seul. Ce fut Arnold qui vint l'arrêter, sous les protestations de son maître, Arnold dû aller sauver la peau de sa protégée. Il savait que si elle mourrait des mains du maître, il en serait plus qu'anéantis. | |
| | | junjou Fraise Éternelle
Nombre de messages : 11907 Age : 53 Localisation : Le Bordeline est mon quotidien Date d'inscription : 25/01/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Mar 16 Oct 2012, 13:07 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? - Oui! - Bien, je vois que je n'ai pas le choix, se dit Arnold à haute voix. Vois-tu petite insolente, le harem du maître s'y est installé. - Le...le harem? - Oui, dit-il d'un sourire sadique, et elles sont bien plus affamées que lui. En moins de deux, tu n'existerais plus. - V-Vous me faites peur en parlant ainsi, se plaignit Carry. - Tu serais folle si tu ne le serais pas, commenta Arnold.
Le soir venu, le maître se réveilla avec des picotements dans les dents. Il avait faim. Il sonna la cloche pour qu'Arnold lui emmène son repas, il avait envie d'une vierge ce soir. Contre toute attente, il vit Carry apparaître au pas de la porte de sa chambre.
- Oui, maître ? - Où est Arnold ? - Il dort, se fut un énorme effort pour lui d'être éveillé en pleine journée... - Pourquoi diable était-il debout à cette heure-là ? - Il...s'occupait de moi.
Carry baissa les yeux n'osant pas lui avouer qu'elle avait au préalable tenté de s'enfuir.
- Pourquoi cela, demanda le vampire encore affamé. - Parce que ma blessure s'était réouverte... - Blessure ? Quelle blessure? Et pourquoi tu es celle qui vient s'occuper de moi ? J'ai plus qu'un serviteur... - Ma personne ne vous conviendrait-elle pas ? Demanda Carry, dont sa voix tremblait faiblement. - Te voilà bien docile d'un coup. Cacherais-tu encore quelque chose ? Se fit sceptique le maître. - N...non...je vous assure que je ne veux que vous servir.
La dévisageant de bas en haut dans cette sa chemise de nuit à moitié transparente qui laissait entrevoir sa délicieuse poitrine, il se passa la langue sur ses lèvres.
- Soit ! Approche donc. Dit-il en tapotant sa main sur le lit, lui faisant comprendre qu'il la voulait près de lui.
La petite Carry s'approcha lentement, toujours en guerre entre fuir ou servir. Ce fut son second choix qui emporta cette bataille. Ayant peur d'être sévèrement blessée si elle n'exécutait pas cet ordre, elle avança vers ce vampire et s'installa là où il souhaitait qu'elle soit. Le maître la dévisagea de toutes les parcelles de son corps et paraissait délicieuse. Il huma l'odeur de son coup et monta jusqu'à son oreille. Carry frissonna à ce geste, mais ce n'était pas de peur, elle était déconcertée de voir que c'était de plaisir. Ce fut ensuite le moment fatidique où il enfonça ses crocs dans sa chair. Le succulent nectar au fond des entrailles du maître, lui faisant reprendre des forces. Il entoura la taille de la petite de ses bras, il la voulait sienne. Elle était tellement bonne qu'il ne souhaitait pas s'arrêter. Il ne contrôlait plus son propre corps, seul son esprit lui criait de la prendre à lui seul. Ce fut Arnold qui vint l'arrêter, sous les protestations de son maître et Arnold dû aller sauver la peau de sa protégée. Il savait que si elle mourrait des mains du maître, il en serait plus qu'anéanti.
La prenant dans ses bras à moitié inerte, il emmena Carry jusqu'à sa chambre qu'il ferma à double tour. Le maître qui l'avait suivi, frappa à sa porte en s'écriant.
- Arnold ! Je t'ordonne d'ouvrir cette porte ! Tu m'entends ?! - Oui, maître. Mais je ne peux pas ! - Comment cela ? Tu oses me désobéir ?! Toi, mon plus fidèle serviteur ! - Oui, maître. Pardonnez-moi, mais je ne peux vous la laisser ! - Tu ne perds rien pour attendre ! Je vais faire appeler les gardes et ils feront voler en éclats cette porte qui me barre le chemin ! - Si vous faites ça, vous savez très bien ce qu'il va se passer !
Sur les dernières paroles de son serviteur, le maître se calma et recula de deux par en arrière. Déjà que le visage de sa peau était d'un blanc lugubre, celui-ci le devint encore plus. De l'autre côté de la porte, Arnold écouta le silence qui s'était intallé et entendit les pas de son maître s'éloigner petit à petit.
Puis, il posa délicatement Carry sur son lit et commença à lui soigner la plaie où les crocs de son maîtres s'y étaitent plantés. Une fois que la blessure fut nettoyée, Arnold regarda sa bien-aimée car c'est comme cela qu'il la considérait et une vive émotion s'empara de lui. Il eut soudain envie de la toucher, de l'embrasser mais ne savait comment faire de peur de la brusquer. | |
| | | Kuroedesu Fraise Convoitée
Nombre de messages : 1216 Age : 30 Localisation : Quelque part perdu dans ma panoplie de livre. Date d'inscription : 28/10/2011
| Sujet: Re: [JEU] L'histoire sans fin Mer 17 Oct 2012, 01:34 | |
| Il était une fois, dans une petite auberge une petite fille avec des couettes brunes que tout le monde appelait Carry. Cette petite fille aimait parler avec le chien de l'auberge. Malheureusement pour Carry, le chien ne répondait que très rarement. Les seules réponses qu'il laissait émettre était un simple bâillement long. Si bien qu'un jour la jeune fille en eut assez et décida de punir le chien. Elle alla chercher un balai dans la cuisine et commença à le chasser dans toute l'auberge, effrayant au passage les clients.Les clients se retournèrent au passage de la petite fille et ils murmurèrent des choses méchantes a son égard. Elle les entendit et leur adressa un regard à vous glacer le sang. Alors elle décida de rattraper le chien, et d'en faire un chien d'attaque, pour éviter que les gens la regardent méchamment ! Mais le chien ne semblait pas être très coopératif. En fin de compte il abandonna, lassé et alla se coucher devant le feu, tandis que Carry hurlait toujours "ATTAQUE !!!" à l'autre bout de la pièce. La jeune fille, n'avait malheureusement pas conscience qu'elle était ridicule, elle ne comprenait pas pourquoi toute l'auberge rigolait. Jusqu'au jour où elle entendit une petite voix l´appeler « Carry, Carry par ici », elle regarda en direction de la fenêtre d´où provenait le son. Sur le rebord elle vit un petit oiseau qui la dévisageait. Elle s'avança alors, et remarqua que l'oiseau était en fait un automate, qui continuait de l'appeler "Carry, Carry, par ici". Elle prit alors l'oiseau dans ses mains, et arracha le fil de branchement. Les fils dans la main droite et l'oiseau dans l'autre elle sortit de l'auberge malgré le fait qu'il faisait nuit. Elle longea le mur extérieur de l'auberge, jusqu'à la fenêtre. Un fil semblable à celui qu'elle tenait à la main sortait de l'espace entre le volet et le mur, et descendait jusqu'au sol, dissimulé pas une gouttière. elle marcha pendant longtemps jusqu'à un puits, où elle s'arrêta se sentant épiée. Son cœur battait de plus en plus vite, la pression et la peur montantes. Elle se retourna donc pour voir s'il y avait quelqu'un derrière elle. La cour de l'auberge était vite, mais étrangement Carry ne s'en sentit que plus angoissée. Elle commençait à regretter d'avoir suivi les fils. Il lui restait tout juste assez de curiosité et de courage pour se pencher par-dessus la margelle du puits et y apercevoir une forme étrange et pour le moment indéfinissable qui semblait fixer la pauvre Carry qui, pris de peur voulut s'enfuir mais ses pieds avaient déjà quittés le sol. Une personne l'avait soulevé du sol. La fille effrayée tourna la tête, et vit une silhouette encapuchonnée dont seul les yeux rouges ressortaient dans cette nuit sans lune.Carry essaya de se débattre, en vain. Puis soudain l’oiseau reprit son chant lancinant et torturé. "Carry, Carry, meurs. Carry, Carry, fais-nous plaisir." La jeune fille, effrayée, ne put réagir. L'homme la prit avec elle, la fit retourner dans l'auberge. Il la tenait d'une manière que l'on croyait qu'elle volait. Lorsqu'il la déposa sur son lit, la capuche tomba. Cet homme était d'une beauté froide, ses lèvres fines, bien dessinées esquissaient un sourire doucereux quand son regard, glacial s'embrasa soudain. Ses longs cheveux blonds virevoltant autour de lui prirent une teinte pourpre et il se transforma en vampire. vampire? il regardait avec convoitise Carry qui sentait son cœur battre à toute allure... bois-moi, bois-moi disait son sang. Carry hurlât de toute ses forces dans l'espoir qu'un éventuel sauveur apparaisse. Malheureusement les canines ivoire se rapprochaient de sa gorge palpitante. Dans un ultime réflexe de survie, Carry brandit son poing et ... ... rapide comme l'éclair, le vampire lui attrapa le bras avant de sortir une paire de menottes. et Carry se retrouva prise au piège de cet homme, beau, dangereux et si captivant... qui l'a pris dans ses bras avant de s'envoler avec elle. le vampire ramena carry dans sa tour où il l'enferma dans sa chambre....Elle criait, suppliant que quelqu'un vienne la sauver, après plusieurs minutes elle abandonna. Elle se retourna et observa la pièce. Elle était presque vide, il n'y avait qu'une grande armoire en bois et des chandeliers et il n'y avait pas de fenêtres. Alors qu'elle s'agenouilla contre l'armoire, elle entendit un bruit venant de l’intérieur, un grattement de plus en plus fort. Elle recula brusquement et la porte de l’armoire s'entrouvrit et elle vit un rat qui sortit. Il était effrayant et elle recula doucement en l'inspectant. Sur sa bouche, il y avait du sang et de la chair ,elle poussa un gémissent de frayeur,le rat s’enfuit dans un trou du mur,elle redirigea son regard vers l’armoire, elle entendit un petit bruit,Cary se colla à la porte,quelque chose en sortît,il tomba sur le sol en faisant un bruit sourd,c’était un cadavre donc les orteils étaient rongés et don le coup était ensanglanté elle poussa un énorme cri et de suite,elle entendit des pas monter dans sa tour d’ivoire se rapprochant de plus en plus jusqu'à atteindre la poignée, le cœur de Carry accéléra jusqu’à ce que la porte s’entrouvrit pour laisser apercevoir cet homme vêtu de noir, recouvert de sa cape. Reculant au fond de la pièce, Carry resta immobile contre le mur observant cet inconnu qui entrait dans la pièce pour se diriger vers elle. Celui-ci tenait une longue robe de couleur saumon, puis il se mit à la dévisager sur toutes les coutures et lui dit :"Déshabille-toi ! Je veux que tu mettes cette robe". Carry effrayée, se colla contre le mur en serrant sa petite robe et lui dit "mais, qui êtes-vous ? Et pourquoi dois-je mettre cette robe ?". Dans un rugissement terrible, il lui répondit "Tais-toi ! Tu poses trop de question ! Tu a eu de la chance que le prince des vampires t'invite ! D'habitude, il les dévore d'un très" confuse Carry lui dit "prince ?" "he bien tu n'a pas l'air de savoir grand chose(après une minute de silence) héhé après tout, tu est plutôt jolie, il veut sûrement s'accoupler avec toi avant de te faire sombrer dans un sommeil profond. cela dit, tu est bien différente des autres tellement...simplette". D'un geste sec, il lui lança la robe qui était de dentelle et de fil d'or et il cria "quand tu auras fini, déscends ! Le prince t'invite à sa table !" L'homme sortit en claquant la porte et Carry s'effondra à genoux pour se mettre à pleurer dans le tissu qu'elle tenait dans ses mains. Pendant ce temps, tous les préparatifs étaient fins prêts et le prince, déjà installé à une table immense qui se trouvait dans une salle qui devait être le salon, attendait patiemment la venue de sa nouvelle prisonnière. Puis, il entendit des pas qui s'approchaient et son visage se figea devant cette beauté qui s'avançait vers lui. Celle-ci était vêtue de cette robe aux fils d'or qui paraissait briller de mille feux. Ne pouvant détacher son regard d'elle, il la trouva désirable. Carry qui sentait son regard insistant, baissa la tête tout en continuant d'avancer vers lui,elle s’arrêta net ,il se leva et pris son menton avec sa main gauche,il dit"ne t’inquiète pas je ne te ferais rien,du moins pour l'instant assied toi"elle s'assit sur une chaise qui ressemblé plus à un fauteuil individuelle,le vampire faisa sonné la cloche et un homme dans un costume noir feutre avec un petit nœud papillon arriva avec des plats,elle dévisagea l'homme et ce n’était autre que l'homme qui lui avait lancé la robe mais il etait beaucoup plus présentable , ces cheveux long était attaché en chignon et sa barbe avait disparue,le vampire dis je te présente Arnold "il est mon serviteur depuis maintenant cent ans" "Cent ans? S'etonna la jeune prisonière, si longtemps que ça?" Elle regardait le prince sans vraiment comprendre et c'est là qu'il lui dit: "Nous sommes des vampires, donc immortelle. -Oui, j'ai fini par le comprendre bien assez vite. Ce que je ne comprend pas, c'est que tu l'ai enduré aussi longtemps."
En disant cela elle pointait l'homme en question du doigt, mais sans y avoir pensée, Carry venait peut-être de signer son arrêt de mort. La peur la submergeait de nouveau tandis que son assaillant de major d'homme s’approchait griffes et crocs sortit. Heureusement pour elle le prince réagit,il se leva et dis -Ne la touche pas elle est ma prisonnière Le major d'homme s'inclina troublé et dis -veillé me pardonné votre altesse,je ne recommencerai plus -bien tu est pardonné Carry tremblé le prince dis au major d’homme, de partir aussitôt,il suivie les ordre,le prince se mit derrière la fille, et il pris la jeune fille par les épaules et la serra tendrement, il dit "ne t'inquiète pas,je te protégerai" La jeune fille sentis son cœur s’emballe et son souffle commencé a accélérai,elle se noyé dans son odeur sucré,et amer a la fois dans sa chaleur.. puis elle se rendis compte quelle se senté bien là dans ces bras,dans les bras d'un monstre, effrayé par ses sensations inconnue elle le poussa et dis en s'enfuyant: -Excusé moi! je retourne dans ma chambre!! Et elle s'enferma dans cette pièce qui était à peine illuminée d'une petite lampe de chevet, dont celle-ci était posée sur un meuble qui paraissait aussi vieux que l'âge du vampire qui la séquestrait, si ce n'est plus. Puis, elle avait changé sa robe pour une chemise de nuit bleu ciel et n'avait même pas demandé où se trouvait la salle de bain. Elle commençait à se trouver mal dans ce corps et sentir ses mains qui l'avait entourées la troublait de plus en plus. Carry se demandait ce qu'était cette nouvelle sensation ? Soudain, la porte de sa chambre s'ouvrit mais ce n’était que le majordome. Effrayée, elle courut vers son matelas sale et s'assit. Le majordome la regarda avec un regard grave et dit "ne t’inquiète pas, j’obéis toujours aux ordres du maître". Après un moment de silence, il lui dit" -Viens,le maître m'a ordonné de te donner une chambre plus...convenable -Convenable? -Oui -Mais pourquoi? -Les humaines qui pourraient se faire vider à tous moments devraient se taire dit-il avec un regard noir -P-pardon" Ils descendirent de la tour et montèrent deux étages du manoir qui était propre mais tellement sombre. Le majordhome s’arrêta et ouvrit une porte. Surprise par tous ces objets magnifiques, elle dit : -Magnifique -Ce sera ta chambre !
A peine eut-il fini sa phrase, que le marjordome sortit de la chambre laissant Carry inspecter celle-ci. Elle était émerveillée par ce qu'elle voyait. Le géant lustre qui se trouvait au plafond, illuminait entièrement la chambre, ainsi que les tableaux qui se trouvaient accrochés au mur. Ceux-ci représentaient des scènes romantiques, noyées dans des couleurs de sang, ce qui la glaça complètement. Puis, elle se dirigea vers le lit et découvrit quelques vêtements de rechange comme une chemise de nuit et quelques robes. Elle passa ses doigts sur ces tissus dont la matières était aussi douce que de la soie. Ensuite, elle alla vers une porte qui s'ouvrait sur la chambre et la poussa. Ce qu'elle vit lui donna un sourire aux lèvres. Une large baignoire s'étalait sur une distance de 3 mètres de longueur et 2 mètres de large environ. Ne perdant pas de temps, elle se fit couler un bain pendant qu'elle se déshabilla. Une fois que la baignoire fut remplie, il se glissa dans l'eau et aperçut un flacon où elle déversa du liquide dans l'eau, qui en fit rapidement de la mousse. D'un seul coup, elle se sentit bien et commença à se décontracter. Soudain, elle entendit un bruit qui n'était autre que le son d'une porte qui s'ouvrit et des pas s'approchèrent doucement. Carry sentit son coeur s'emballer lorsque le maître apparut sur le pas de la porte de la salle de bain. Carry n'osait pas bouger, ni regarder dans la direction de la porte, elle s'enfonça plus profondément dans l'eau pour cacher son corps. De son côté, le maître observait tranquillement cette fille, qui sans savoir pourquoi lui faisait perdre le nord. Il s'approcha doucement de Carry et se pencha derrière elle, qui figea complêtement.
-Je vois que madame se détend sans le demander... - Mais...que me voulez-vous à la fin ?! Dit-elle, affolée et gênée. - Tu le sauras bien assez tôt. Répondit-il tendrement, en posant sa main sur l'épaule de Carry. - Ne me touchez pas ! Je vous l'interdis ! Cria-t-elle, en faisant un mouvement d'épaule. - Hein ! A qui crois-tu parler Mademoiselle ?! Dit-il, légèrement énervé. Sur ces derniers mots, Carry resta bouchée en constatant que le visage du Maître s'était changé en quelque chose qu'elle n'arrivait pas à définir et qui lui donna un frisson. - Allez ! Je t'ordonne de sortir de ce bain et mettre cette chemise de nuit qui n'attend que toi, que j'ai spécialement choisi en ton honneur. - Si vous voulez que je sorte de celui-ci, laissez-moi seule ! - Tu ne penses tout de même pas que je vais rater une telle occasion de cette magnifique vue qui va s'offrir à moi ? Dit-il, d'un air malicieux. -Je le répète, insista Carry, je ne sors pas, tant que vous n'êtes pas partie.
Elle croisa les bras et se mit à bouder.
-Mais c'est qu'elle se croit tout permis, celle-là, dit-il en lui agrippant le bras. -Lâchez-moi!
Carry se débattait autant qu'elle le pouvait pour que le vampire s'éloigne, mais elle ne s'attendait pas à ce que, tout au contraire, il tombe dans le bain et se retrouve trempé jusqu'aux os.
- Mais regarde ce que tu as fait idiote !! S'écria-t-il. - Je vous ai dis de sortir et vous ne m'avez pas écouté ! - Petite insolente ! Tu vas le regretter !! Dit-il, en donnant un grand coup de poing dans l'eau.
Sous l'effet de sa colère qui venait d'exploser, de longues canines firent leur apparition et Carry ferma les yeux, ne faisant plus aucun mouvement et paralysée par la peur qui la submergeait.
Le vampire sortit en trombe de la baignoire, dont ses vêtements dégoulinaient de partout. Puis, en entendant le vacarme qui venait d'avoir lieu, le majordome accourut dans la pièce.
- Mais...qu'est-ce qu'il se passe, Maître ? Oh ! Mais vous êtes tout trempé ! Il faut vite vous sécher ! Vous savez très bien que votre santé est fragile ! - Laisse-moi ! Retourne à tes occupations. Dit le maître, sur une pointe de colère. - Mais... - Je t'ai dit d'y aller ! Obéis-moi ! - Très bien, Maître. Vos désirs sont les ordres.
Le serviteur quitta la pièce pendant que le vampire attrapa une serviette pour s'essuyer les cheveux. Il commença à se calmer et ses longues canines avait disparu. S'avançant de nouveau vers la baignoire, Carry avait toujours les yeux fermés et son corps grelottait de par la pigmentation de sa peau.
- Je ne me répéterais pas. Je t'ordonne de sortir de cette baignoire. Dit-il sur un ton morne.
Elle avait eu tellement peur en voyant la colère du maître qu'elle lui obéit sans tarder, se levant laissant apparaître les courbes de sont corps. Troublé, le maître détourna le regard, rougissant.
-D-Dépêche-toi de mettre cette chemise de nuit, bégaya le vampire. -Oui... réussit-elle à répondre.
Carry sortit du bain et mit rapidement la chemise que lui tendait maintenant le maître des lieux. Elle ne pouvait le nier, cette chemise était ravissante, elle était d'un rose pâle. Mais un autre problème se posa. Carry l'avait enfilée tellement vite, qu'elle en oublia de se sécher et la chemise de nuit ressemblait maintenant un vêtement plissé qui faisait découvrir sa poitrine à travers celle-ci, dont les bouts de ses seins pointaient fortement. Gênée, elle se couvrit la poitrine de ses bras.
- C'est mâlin ça ! Regarde ce que tu as fait ! Tu as mis de l'eau partout ! Cria le vampire, en s'avançant vers elle. - Mais...c'est vous qui m'avait dit de sortir du bain et de m'habiller ! Répondit-elle, tout tremblotante. - Et en plus, je déteste que l'on me tourne le dos lorsque l'on me parle !
Puis, la prenant par les épaules, il la fit tourner face à lui. Carry baissa les bras, ce qui dévoila son corps à travers la chemise de nuit. Le vampire, ébahi, ne put détacher ses yeux par ce qu'il voyait et il sentit une pulsion l'envahir. Ses yeux virèrent au rouge et ses crocs forçaient pour sortir.
-V-Vos yeux... s'inquiéta la jeune fille, ils sont rouges. -Je sais, répondit l'autre sans détourner le regard de sa fixation.
Les joues de Carry devenaient de plus en plus rouges et l'envie du maître de la mordre augmentait aussi rapidement. Sans s'en aperçevoir, le vampire se pencha vers les seins de sa vis-à-vis. En une fraction de seconde, la chair de la jeune effrayée se trança laissant couler un élégant élixir rouge que le maître aspirait à grosses goûttes. Le coeur de Carry battait la chamade, autant de peur que d'excitation puis soudain, le maître la poussa férocement. Elle tomba sur le dos et elle était incapable de bouger.
- J'en ai beaucoup trop pris, consatata le vampire en s'approchant de la martyr. - Non ! Ne vous approchez pas !! Dit-elle, en reculant. - Tu ne devrais pas avoir peur. Maintenant que tu as réveillé en moi cet instinct, je ne peux plus me retenir et je vais te faire mienne !
Carry se mit à ramper pour échapper à l'emprise de son ravisseur, mais celui se rua sur elle en lui arrachant la chemise de nuit rose pâle. Elle était de nouveau nue face à lui et il l'attrapa comme il put pour la balancer sur le lit baldaquin.
- Non !!! Je vous en supplie !! Arrêtez !!! - Ce n'est pas la peine de te débattre... - Maître !!! Cria une voix.
En entendant cette voix crier, le vampire se retourna et vit le majordome.
- Qui t'a permis de rentrer dans cette chambre ?! - Mais Maître...qu'est-ce que vous êtes en train de faire ? Dit le majordome. - Ce n'est pas tes affaires, maintenant sors d'ici ! - Non, je ne peux pas vous laisser faire ça, ce n'est qu'une humaine. Insista le majordome de plus en plus dégoûté. - Je t'ai dis de sortir d'ici, maintenant ! Cria le maître, faisant sortir ses crocs.
Le majordome prit peur et laissa son maître faire ce qu'il avait envie de faire de cette fille. Il alla dans sa propre chambre et se sortit une poche de sang, il n'avait pas envie de chasser d'avantage cette nuit. Il buvait son repas d'un trait et s'ouvrit un nouveau roman qu'il avait volé à son dernier repas. Il tentait tant bien que mal de se concentrer sur sa lecture, mais il n'y parvenait pas, après plus de 100 ans de service, jamais il n'avait vu son maître perdre le contrôle pour quelqu'un et il en était un peu jaloux, surtout qu'il s'agissait que d'une humaine. Il ferma sa lampe de chevet et tenta de dormir, mais il se fit vite déranger par une silhouette féminine maculée de sang totalement en larmes. Le majordome s'assit dans son lit interrogé.
- Quoi? Se fâcha-t-il, en voyant que Carry sautait dans ses bras. - Le maître il m'a... il m'a...
Carry n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'elle s'écroula dans les bras du majordome Arnold. Ayant perdu connaissance, celui-ci la porta jusqu'à son lit qui était maintenant tâché de sang.
- Oh ! Maître ! Que lui avez-vous fait ? Se parla-t-il à lui-même.
Puis, Arnold se dirigea dans sa salle de bain personnelle pour ramener une bassine remplie d'eau avec pansements et autres choses utiles.
Il commença à nettoyer les plaies sur le corps de la jeune fille qui ressemblaient à de petites morsures. Mais le majordome remarqua que son Maître ne l'avait pas mordu dans le cou et en conclut qu'elle était toujours humaine.
Tout en la soignant, il ne put détacher son regard de ce corps qu'il trouvait si parfait malgré les blessures et il se disait que c'était peut-être pour ça que son Maître était devenu fou. Puis, passant délicatement ses doigts sur la peau de la jeune fille, il trouva que celle-ci était très douce. Mais au fur et à mesure qu'il la caressait, il sentait l'envie du sang lui monter à la tête. Réussissant à se maîtriser, il prit une couverture près du lit et la recouvrit.
L'aube s'était levée et les rayons du soleil frappaient la chambre du majordome.
Sur un lit, était allongée Carry qui commençait à ouvrir les yeux doucement. C'est alors qu'elle vit tous ces pansements et elle se demandait qui les lui avait mis et pourquoi elle en portait. Elle s'assit sur le lit et tenta de se souvenir de la veille. Elle fut horrifiée en voyant le majordome couché près d'elle dans son sommeil mortel. Elle se rappela de tout à partir de ce moment. Elle tremblait de peur touchant maladroitement ses pansements, elle se dit que Arnold avait dû lui mettre à contre coeur et redoutait le moment où il se réveillerait. Elle glissa subtilement hors du lit en faisant pression sur sa blessure pour ne pas qu'elle s'ouvre à nouveau et alla ouvrir la porte de la chambre. Si le maître aussi dormait, Carry se disait qu'elle pourrait réussir à s'enfuir, mais lorsqu'elle atteint enfin la porte de sortie, elle se fit arrêter pas des gardes humains.
- Eh ! Où allez-vous comme ça ? Demanda l'un d'eux. - Laissez-moi partir ! Je ne veux plus rester ici ! - vous ne pouvez pas partir et nous avons des ordres ! Dit un autre
Pendant ce temps, le majordome qui commençait à sortir de ses songes fut réveillé par tout ce bruit. Il se leva et enfila une robe de chambre.
- Mais quel est la cause de tout ce raffut ? Demanda-t-il, énervé. - Oh ! Pardon Monsieur Arnorld, mais cette demoiselle avait l'intention de s'enfuir. - Décidément, tu ne fais que me créer des problèmes. Dit le majordome. - S'il vous plaît, laissez-moi partir. Supplia Carry. - Tu sais très bien que je ne peux faire ça. Allez ! Raccompagnez-la dans sa chambre. - Non ! Je ne veux pas !
Deux gardes l'attrapèrent, mais Carry se débattit tellement que sa blessure se rouvrit pour laisser apparaître une grande tâche de sang sur son ventre. Sous la douleur, celle-ci tomba à genoux et les gardes la lâchèrent.
Lorsque Arnold s'approcha d'elle, ceux-ci s'écartèrent. Le majordome fit relever Carry pour la porter dans ses bras et l'emmena dans la pièce où elle avait passé la nuit.
Elle suppliait encore une fois le majordome de la laisser partir, mais comme elle s'y attendait, il refusa. Comme un automate, il lui défit ses bandages et lui en mit d'autres.
- Si tu restais calme à la place de t'énerver, tu aurais la vie plus facile. Commenta Arnold. - Le maître prendrait plus son temps pour me tuer, c'est ça que tu essayes de dire? Je sais bien que peu importe ce que je fais, je vais mourir. Répondit Carry, en commençant à pleurer. - Figures-toi que c'est un honneur de mourir des mains du maître. - Ah bon ? Vous trouvez que c'est un honneur ? Parlez pour vous ! - Bien, je te conseille de te calmer sinon je te mets dans le donjon ! Et crois-moi, c'est bien plus horrible de ce que tu peux croire ! - Le...le donjon ? - Oui, le donjon. - Mais pourquoi a-t-il de si spécial ? - Tu veux vraiment le savoir ? - Oui! - Bien, je vois que je n'ai pas le choix, se dit Arnold à haute voix. Vois-tu petite insolente, le harem du maître s'y est installé. - Le...le harem? - Oui, dit-il d'un sourire sadique, et elles sont bien plus affamées que lui. En moins de deux, tu n'existerais plus. - V-Vous me faites peur en parlant ainsi, se plaignit Carry. - Tu serais folle si tu ne le serais pas, commenta Arnold.
Le soir venu, le maître se réveilla avec des picotements dans les dents. Il avait faim. Il sonna la cloche pour qu'Arnold lui emmène son repas, il avait envie d'une vierge ce soir. Contre toute attente, il vit Carry apparaître au pas de la porte de sa chambre.
- Oui, maître ? - Où est Arnold ? - Il dort, se fut un énorme effort pour lui d'être éveillé en pleine journée... - Pourquoi diable était-il debout à cette heure-là ? - Il...s'occupait de moi.
Carry baissa les yeux n'osant pas lui avouer qu'elle avait au préalable tenté de s'enfuir.
- Pourquoi cela, demanda le vampire encore affamé. - Parce que ma blessure s'était réouverte... - Blessure ? Quelle blessure? Et pourquoi tu es celle qui vient s'occuper de moi ? J'ai plus qu'un serviteur... - Ma personne ne vous conviendrait-elle pas ? Demanda Carry, dont sa voix tremblait faiblement. - Te voilà bien docile d'un coup. Cacherais-tu encore quelque chose ? Se fit sceptique le maître. - N...non...je vous assure que je ne veux que vous servir.
La dévisageant de bas en haut dans cette sa chemise de nuit à moitié transparente qui laissait entrevoir sa délicieuse poitrine, il se passa la langue sur ses lèvres.
- Soit ! Approche donc. Dit-il en tapotant sa main sur le lit, lui faisant comprendre qu'il la voulait près de lui.
La petite Carry s'approcha lentement, toujours en guerre entre fuir ou servir. Ce fut son second choix qui emporta cette bataille. Ayant peur d'être sévèrement blessée si elle n'exécutait pas cet ordre, elle avança vers ce vampire et s'installa là où il souhaitait qu'elle soit. Le maître la dévisagea de toutes les parcelles de son corps et paraissait délicieuse. Il huma l'odeur de son coup et monta jusqu'à son oreille. Carry frissonna à ce geste, mais ce n'était pas de peur, elle était déconcertée de voir que c'était de plaisir. Ce fut ensuite le moment fatidique où il enfonça ses crocs dans sa chair. Le succulent nectar au fond des entrailles du maître, lui faisant reprendre des forces. Il entoura la taille de la petite de ses bras, il la voulait sienne. Elle était tellement bonne qu'il ne souhaitait pas s'arrêter. Il ne contrôlait plus son propre corps, seul son esprit lui criait de la prendre à lui seul. Ce fut Arnold qui vint l'arrêter, sous les protestations de son maître et Arnold dû aller sauver la peau de sa protégée. Il savait que si elle mourrait des mains du maître, il en serait plus qu'anéanti.
La prenant dans ses bras à moitié inerte, il emmena Carry jusqu'à sa chambre qu'il ferma à double tour. Le maître qui l'avait suivi, frappa à sa porte en s'écriant.
- Arnold ! Je t'ordonne d'ouvrir cette porte ! Tu m'entends ?! - Oui, maître. Mais je ne peux pas ! - Comment cela ? Tu oses me désobéir ?! Toi, mon plus fidèle serviteur ! - Oui, maître. Pardonnez-moi, mais je ne peux vous la laisser ! - Tu ne perds rien pour attendre ! Je vais faire appeler les gardes et ils feront voler en éclats cette porte qui me barre le chemin ! - Si vous faites ça, vous savez très bien ce qu'il va se passer !
Sur les dernières paroles de son serviteur, le maître se calma et recula de deux par en arrière. Déjà que le visage de sa peau était d'un blanc lugubre, celui-ci le devint encore plus. De l'autre côté de la porte, Arnold écouta le silence qui s'était intallé et entendit les pas de son maître s'éloigner petit à petit.
Puis, il posa délicatement Carry sur son lit et commença à lui soigner la plaie où les crocs de son maîtres s'y étaient plantés. Une fois que la blessure fut nettoyée, Arnold regarda sa bien-aimée car c'est comme cela qu'il la considérait et une vive émotion s'empara de lui. Il eut soudain envie de la toucher, de l'embrasser mais ne savait comment faire de peur de la brusquer. La pauvre était presque totalement inerte, pire même, presque sans vie. Elle avait de la difficulté à respirer. Elle frissonna lorsqu'elle sentit quelqu'un la toucher légèrement l'épaule, elle se crispa de peur que ce soit le maître, mais lorsqu'elle ouvrit péniblement les yeux, elle se détendit voyant de ce n'était qu'Arnold. Des larmes se mirent doucement à tomber sur ses joues, elle pleurait, autant de douleur que de tristesse. Elle se glissa par elle-même dans les bras de son sauveur qui la serra fort contre lui.
-Que lui ai-je fait pour mériter ça? pleura-t-elle, je croyais qu'il ne recommencerai pas... du moins pas jusqu'à ma mort.
Elle se colla encore plus à au serviteur, comme pour se sentir protégée.
-J'ai tellement peur... je... je ne veux pas mourir.
Arnold ne savait pas quoi dire, il y à longtemps qu'il était mort et ne pouvait pas se rappeler se qu'était le goût à la vie. Cependant, il sentait le besoin de la protéger, si elle ne voulait pas mourir, alors elle ne mourra pas. Comment avait-il commencé à ressentir de tel sentiment pour cette fille? Son odeur imprégna rapidement l'air, ses canines sortir de leur cachette, mais il combattait sa faim. Si il n'y arrivait pas, elle allait mourir et il ne le voulait pas. Arnold ferma les yeux pour s'aider à se calmer, dans sa tentative, il commença à serrer de plus en plus la petite Carry qui tentait de s'échapper de ses bras. Elle criait: "Non, pas toit aussi! S'il te plait, pas toi!" La voix désespérée de la fille aida le majordome à reprendre ses esprits. Il desserra son étreinte, mais continua de l'enlacer, il disait: "Pardonne moi, je ne voulais pas! N'ai pas peur... je ne veux pas te faire de mal." | |
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